An ti-sosé vitman
Jédi pasé Prézidan Lafrans fè an ti-sosé vitman présé Matinik, avan i té pété’y asou Sen-Marten. Apré siklòn Irma, i té ponmet déviré pou inogiré Laprékti ek anlo lékol éti té ped fétay-yo.
Jédi pasé Prézidan Lafrans fè an ti-sosé vitman présé Matinik, avan i té pété’y asou Sen-Marten. Apré siklòn Irma, i té ponmet déviré pou inogiré Laprékti ek anlo lékol éti té ped fétay-yo.
Nou ni an flè yo ka kriyé chimen-kontra éti yo ka sèvi kont vè. Es la CTM simen kontra, siprimé kontra oben ba moun chimen-kontra?
Yo sèvi yonndé kontra CDD. Es sé dé démagoji ?
On dit souvent en créole on mètamanyòk pour désigner le «responsable» sinon le spécialiste d’une activité. Ainsi on pourra entendre: Benzo sé on mètamanyòk a kréyòl.
Déjà six années que la direction de l’AMDOR me sollicite pour un mot d’ouverture du congrès en créole. N’est-ce pas une manière de préserver l’âme, je dirais même, l’âme d’or de ce peuple en respectant sa langue maternelle. Quoi qu’il en soit, leur implication dans le travail social est une véritable lame de fond qui ne dort pas.
Au fil du temps, plusieurs congressistes (surtout étranger à la langue créole) ont sollicité une traduction de mes interventions.
Cher (e)s congressiste(s) vous disposez désormais de cet écrit dans les deux langues.
Bonne lecture
Ladjé kò zot adan
Cet ouvrage est à la fois un compte-rendu d’une expérience professionnelle réelle en brousse calédonienne, et un regard venu de l’extérieur, exercé par des années d’enseignement en métropole, en Guadeloupe, en Polynésie dans des contextes socioculturels très différents les uns des autres. Il se penche sur des constats, des réalités plaisantes ou dérangeantes et propose des pistes de réflexions adaptables, réelles et concrètes aux enseignants.
Jid
Faut-il maintenant, en Haïti, «réformer» ou refonder le système éducatif national? La politique linguistique éducative doit-elle être au centre de la refondation du système éducatif national? Ces questions majeures ont été abordées par notre article paru dans Le National le 6 septembre 2018, «La question linguistique en Haïti et la «réforme» du système éducatif nationa». Plusieurs correspondants nous ayant demandé de mieux préciser notre vision, nous le faisons volontiers en tenant compte d’un article fort intéressant paru le 13 septembre 2018 dans Le National, «La réforme de l’éducation, un chantier réalisable selon Guy Étienne» qui nous vaut également aujourd’hui de revenir sur le sujet.
L’écrivain et essayiste martiniquaise Corinne Mencé-Caster a lu «Fillette Lalo», roman de Gerry L’Etang et Dominique Batraville.
Depuis un mois environ une mobilisation de plus en plus forte et multiforme (marche, sit-in, manifestation, etc.) occupe sans cesse l’actualité pour exiger la restitution du fonds de Petrocaribe gaspillé par les pouvoirs en place en Haïti de 2008 à 2016. En effet, presque tous les jours, à Port-au-Prince et les localités environnantes, dans les villes de province et même dans la diaspora, le mouvement prend de l’ampleur au point qu’il fait aussi la une de l’actualité dans certains médias étrangers (RFI, France 24, Radio Canada, etc.).