Déjà six années que la direction de l’AMDOR me sollicite pour un mot d’ouverture du congrès en créole. N’est-ce pas une manière de préserver l’âme, je dirais même, l’âme d’or de ce peuple en respectant sa langue maternelle. Quoi qu’il en soit, leur implication dans le travail social est une véritable lame de fond qui ne dort pas.
Au fil du temps, plusieurs congressistes (surtout étranger à la langue créole) ont sollicité une traduction de mes interventions.
Cher (e)s congressiste(s) vous disposez désormais de cet écrit dans les deux langues.
Bonne lecture
Ladjé kò zot adan