L’agence de placement

Ce que je ne pouvais pas savoir en signant mon contrat à Fort-de-France, c’est que, de 1923 à 1924, je travaillerais dans trois belles demeures en métropole. D’abord, chez Monsieur et Madame Bouvaix, ensuite chez la famille Esterberger. Enfin, à Brignoud, dans le Grésivaudan, où Madame Martin, ma nouvelle patronne, vivait dans un joli manoir…