Haïti: non à l’intervention de toutes forces d’occupation

Il y a environ deux semaines, le gouvernement de facto d’Ariel Henry a déclaré à l’Assemblée générale de l’ONU que tout était sous contrôle. Pourtant, les classes populaires se mobilisaient et continue à se mobiliser à l’échelle du pays pour réclamer la fin de l’État d’apartheid, de la gouvernance par la terreur des gangs et de la rareté artificielle de l’essence. La répression reste jusqu’aujourd’hui la seule réponse du gouvernement…