Nous avons voulu, avec ses témoignages de femmes et d’hommes, apporter notre contribution à un débat que peu ont le courage d’aborder: celui du père martiniquais. Les personnes qui ont accepté d’écrire ont entre trente et soixante-cinq ans. Ils nous ont livré des témoignages effarants et ont confirmé pour la plupart ce que nous avions déjà constaté: les pères martiniquais sont presque tous, pour des raisons diverses, inaccessibles.
Mois : juillet 2017
KREYOLAD 672 – Pengad sargas
Jid
KREYOLAD 671 – Falfret
Jid
Grand deuil sur la poésie haïtienne et québécoise
Calendrier des Insolites – Juillet 2017 – Détikè, Kankangnan é Pipirit
Hector Poullet