Aimée
Il y eut des fleurs de mince et fort gabarit des lilas des fougères des orchidées et plus loin des églantiers des amandiers des oliviers …
Aimée
Il y eut des fleurs de mince et fort gabarit des lilas des fougères des orchidées et plus loin des églantiers des amandiers des oliviers …
Dépi yonndé tan ni sèten moun éti ka vini siseptib kon an pété cho, ek gachet fizi-yo menmbrisi…
Étudiante finissante en troisième année à l’École normale supérieure de l’Université
d’État d’Haïti, Rachel X s’interroge, dans un récent courriel, sur l’épineuse question de l’usage du créole dans l’apprentissage scolaire en Haïti…
Le numéro 13 d’Archipélies, revue en ligne du Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines (CRILLASH) de l’université des Antilles, vient de paraître. Il a pour titre: L’antiracisme à l’heure des mouvements Black Lives Matter et Rhodes Must Fall. Enjeux épistémologiques, défis institutionnels et politiques.
Xanthosoma sagittifolium telle que nous la connaissons aujourd’hui n’est pas une plante naturelle mais le résultat d’une pression de sélection faite par les premiers amérindiens et ce pendant plusieurs millénaires…
Fais danser la poussière est une histoire poignante sur les secrets de famille et la difficulté d’être «à part».
Jacques Bangou, médecin, gynécologue-obstétricien, militant caribéen au sein du planning familial, a été maire de Pointe-à-Pitre de 2008 à 2017, vice-président du Conseil Général de 2004 à 2015, co-fondateur et président de l’agglomération Cap Excellence de 2009 à 2014…
Ni yonndé vakansié ka vréyé pié pas yo pati kité Lafrans anba kannikil ek yo di yo ka vini pran soley isi-a. Yo té ka espéré an soley mwen cho, pas laba-a sé lété. Mé isi-a nou pa ni lété an mwa’d jwen, sé koumansman livènaj…
Manmita, nan vivan li, depase tout baryè listwa ak lavi mete sou chimen. Li se on vrè, vèsyon fanm, Louvèti piske li kreye chimen pou tout moun defavorize, timoun tankou granmoun, li jwenn sou chimen li. Nou menm ki pitit li, aksyon ak zèv Manmita anfavè pòv ak pipòv pa on sipriz pou nou paske nou konnen li te fèt nan on bon fanmi…
Il était 14 heures quand la guimbarde a fait son démarré. Assise près d’un vieux monsieur d’allure misérable dont le pantalon de coutil usé jusqu’à la trame était coupé au-dessous des genoux, je me faisais toute petite. Je ne craignais pas Maître Aristide. Lui, je le connaissais depuis ma tendre enfance. Mais il y avait le contrôleur dont la compagnie l’avait flanqué depuis peu, un mal-bougre efflanqué avec une lame de machette à la place du visage. Pas vraiment le bougre avec qui rigoler!..